Nous vous présentons dans cet article deux espèces menacées et les actions entreprises par les Australiens pour les sauver : Ce sont deux oiseaux des plages !
Le Pluvier à camail (Hooded Plover)Thinornis cucullatus
Ce petit oiseau de la famille des gravelots vit sur les plages d’Australie méridionale et est très menacé. Il fait son nid sur les plages de sable. De nombreux promeneurs et chiens les fréquentent aussi en été.
Des associations se battent pour le protéger comme Friends of the hooded Plover ou Birdlife Australia.
Ils installent de nombreux panneaux d’information et des barrières autour des nids!
« Chicks on the beach » signifie « poussins sur la plage ».
La première observation à Port Willalunga était très émouvante!
Nous nous approchons petit à petit.
Voilà un couple!
Ils sont si mignons avec leur capuche noire !
Nous en avons observé 5 sur 3 plages différentes.
A Waitpinga beachA Victor Harbor
Ce dernier regardait le coucher de Soleil.
A chaque fois, ils partagent vraiment leur maison avec des vacanciers !
Malheureusement souvent les promeneurs ne lisent pas les panneaux et laissent leurs chiens sans laisse sur des secteurs pourtant restreints où elle est requise!
Chien libre menaçant de détruire le nid.
Chacun veut profiter d’un cadre magique !
Le Manchot pygmée (Little Penguin) Eudyptula minor
Il y a 18 espèces de Manchots dans le monde. Appelés à tort Pingouins, du fait de leur nom anglais penguins, les manchots se reproduisent exclusivement dans l’hémisphère Sud – sauf quelques individus au nord des îles Galapagos.
Wikipedia Commons
Le Manchot pygmée est la plus petite espèce de manchot. Il pèse à peine plus de 1kg. On l’appelle aussi le petit manchot bleu du fait de sa couleur.
En maison à Adélaïde durant 7 jours, puis en petit camping car jusqu’à Brisbane.
Notre parcours a été guidé par plusieurs facteurs :
la période : l’été austral est excessivement chaud dans le « centre rouge », et peu supportable aussi sur la « sunshine coast » entre Brisbane et Cairns;
se restreindre à la Tasmanie était une option, mais la richesse animalière est moindre dans sa globalité (et il n’y a pas de koalas en Tasmanie !!)
quand au choix des villes de départ et d’arrivée… Pour couvrir le maximum de milieux naturels en dehors du désert brûlant… Avec le recul, on aurait sûrement fait moins long. Les distances sont tellement énormes !
les incendies terribles ont touché en particulier Kangaroo Island et les parcs nationaux entre Melbourne et Sydney, nous avons donc dû adapter notre trajet en fonction des événements.
Après une immersion en forêt équatoriale, nous nous installons dans la capitale malaysienne. C’est une ville en pleine expansion. Les grattes-ciel poussent comme des champignons, toujours plus haut.
Exchange 106. 452m. AU fond Merdeka 118, qui atteindra 644m
Les célèbres tours Pétronas, jadis les plus hautes du monde, ont été égalées par la tour Exchange 106, en service en 2021, et seront détrônées l’an prochain encore par des édifices encore plus élevés.
Les tours Pétronas
Nous plongeons dans ce monde vertical comme nous n’en avons jamais vu depuis la fenêtre du 28ème étage de la tour d’habitation où nous avons trouvé un appartement durant 6 jours pour fêter Noël. La vue est à couper le souffle, la skyline de la ville se découpant derrière le golf royal.
Du 28ème étageDu toit au 40ème étage (« Rooftop »)
Le soir, les tours s’illuminent et offrent un spectacle inoubliable.
… enfin quand le panorama n’est pas caché par les pluies orageuses qui éclatent presque tous les jours…
Nous fêtons Noël dans ce cadre bien peu sauvage. Mais après 3 mois entre Inde, Népal et Thaïlande, un peu de modernité n’est pas désagréable !
Même après la Thaïlande, la Malaise nous parait encore plus moderne et occidentalisée.
Nous nous échappons encore une fois dans la jungle… bien réelle de l’Eco Park de Kuala Lumpur. Un aperçu de ce qu’étaient les collines de Kuala avant l’urbanisation. Ici, insectes, serpents et oiseaux, sur quelques petits hectares, remplacent les tours et les parkings…
Un chemin survole les arbres dans la canopée et permet d’observer quelques silhouettes de verre et d’acier entre les arbres géants.
Un aigle pêcheur salue les élégantes tours Pétronas, qui dominent la ville de plus de 450 m depuis l’année 1998.
Pygargue blagre Kuala Tower, 421m
Il n’ y a pas que les tours qui sont immenses ici!
En pleine ville, quelques espèces sauvages remarquables subsistent malgré l’urbanisation.
Un pigeon Colombar à double collier Notre premier Guêpier à gorge bleue
Mais le Calao Rhinocéros, symbole du pays, n’est plus présent, dans l’agglomération, que dans la volière du Kuala Lumpur Bird Park…
Celui-là est moins rare…
Au pied des tours, nous découvrons d’autres saveurs. D’abord dans un petit marché, puis dans le très chic centre commercial sous les tours Pétronas. Mais la nourriture reste très populaire et bon marché, 2 à 4 € par plat.
Nous y goûtons la cuisine de rue et le durian, un fruit très gros dont on mange des sortes de compartiments très sucrés.
Le plastique n’est pas encore bani des marchés…;-( Ce n’est pas de la mangue mais du durian dans la barquette.Ici, on choisit la composition de son bol de bouillon.
Ce (trop) bref séjour en Malaisie nous aura montré une terre de contrastes. Ce pays équatorial a un patrimoine naturel exceptionnellement riche. La croissance de la population et le développement ultra rapide du pays sur un modèle de société basée sur la consommation de masse nous a laissé inquiet pour l’avenir de ce patrimoine. Restons positif, ces sociétés seront surement aussi beaucoup plus rapides à entamer le changement vers une économie plus verte…
Rendez-vous en Australie très bientôt ! Mais nous démarrons déjà cette semaine notre road trip en Nouvelle-Zélande… et l’écriture d’articles sera délicate !
Trois jours d’ornithologie et de détente en forêt équatoriale d’altitude
Selamat Datang ! Bienvenue en Malaisie !
A peine arrivés à l’aéroport KLIA (Kuala Lumpur Intern. Airport), nous dormons dans une petite guesthouse et par chance, on nous propose à un tarif correct de nous emmener jusqu’au sommet de Fraser Hill, notre objectif pour cette « escale » de Noël en Malaisie.
Notre chauffeur de taxi, Azlan, déborde d’attentions et nous laisse aller au restaurant, faire nos courses pour les 3 jours prévus dans la foret équatoriale, dans la coquette mais très isolée station de plein air de Fraser’s Hill.
La route est sinueuse comme rarement nous en avons connu. Les coeurs sont mis à rude épreuve. La fin du parcours est une route étroite, surnommée snake road…, en pleine forêt équatoriale.
Bukit Fraser, la colline de Bukit, est un lieu de villégiature prisé surprenant. Très isolé, bien qu’à seulement 100 km de la capitale, le site est un ensemble d’hôtels, de résidences de villégiatures et de cottages très « british », perdus au sommet d’une colline, en pleine dorsale montagneuse équatoriale de la Malaisie. Très humide en saison des pluies, le site était néanmoins très fréquenté par des familles essentiellement, en quête d’air pur, loin des villes.
Le centre du village arbore une belle horloge.
La mosquée rappelle que nous sommes en pays à majorité musulmane. Entendre l’appel à la prière en pleine jungle est aussi déroutant !
Cette localité a la faveur des ornithlogues du monde entier pour son accessibibilté et son charme britannique…
Les premières pluies tropicales arrivent le soir-même, amenant humidité et brouillard.
Notre logis… très humide
Au petit matin, nous nous essayons au trail en pleine jungle le plus proche de notre appartement.
Chaussettes hautes, pantalon et manches longues sont de sortie. Le chemin est glissant, mais le style est là !
Le couvert végétal est très dense et nous ne voyons presque pas d’oiseaux. Des cris de singes gibbons résonnent au loin.
Nous observerons en revanche plusieurs Semnopithèques obscurs. Ce primate ne se rencontre que dans les forêts des péninsules malaises et indochinoises.
Les animaux que nous n’aurions pas aimé voir, ce sont les sangsues qui m’ont rappelé qu’il fallait mettre des chaussettes en laine épaisse et pas une paire synthétique achetée au Décathlon de New Delhi… Car elles sucent au travers !
Ames sensibles, nous avons caché le sang car la sangsue retirée un peu vite provoque une hémorragie…
Le lendemain, nous prenons rendez-vous avec un ornithologue local pour nous accompagner. Son expérience est précieuse pour repérer les oiseaux par leurs cris.
Mésange sultane (Sultane Tit)Verdin de HardwickeSouimanga sombre (Black-throated Sunbird) Grand Arachnothère (Spider hunt)- friand d’araignées mais aussi de nectar.Dice à gorge feu (Fire-breasted Flowerpecker) Garrulaxe mitré (Chestnut capped Laughingtrush)Rufous-bellied Swallow Cecropis badia
Mais celui que nous cherchons plus particulièrement est le Trogon à tête rouge. Cette famille d’oiseaux nous fascine depuis notre quête du Quetzal en 2017 au Costa Rica et nous avions été déçus de ne pas avoir observé son unique représentant sud africain, le Trognon narina…
Grâce au guide qui repère son chant, les enfants observent et même photographient leur Graal! La patience est récompensée.
Aux aguets devant le TrogonTrogon à tête rouge (Red-headed Trogon)
L’excitation est à son comble!
Nous rencontrons ensuite un groupe de photographes de Singapour qui passent une journée d’observation avec un autre guide. Leur méthode est très efficace et quelque peu…discutable. Ils passent en boucle un enregistrement des chants des petits oiseaux forestiers toujours cachés et disposent des vers pour les apater… La définition même de la chasse photographique!
Nous en « profitons » le temps d’une pause dans notre circuit, car c’est une activité très statique. Mais terriblement efficace! Résumé en images…
White-tailed Robin
Sur la même souche… Deux gobemouches très « cute«
Rufous-browed Flycatcher
Voici le petit peuple des sous bois humides et des mousses ombragées…
Et l’ambiance des photographes… au bord de la route ! Pas ce que l’on préfère mais quels fascinants petits passereaux qu’on ne verrait jamais sans cela…
Après 4h de traque active ou statique, les enfants s’essaient à une partie de tir à l’arc à 10 mètres. Pas commun en pleine jungle. C’est le contraste de Fraser Hill !
Sur le chemin du retour, nous observons le Grand gobemouche bleu. Une perle de la nature à nouveau !
Grand gobemouche (Large Niltava)
Les enfants concluent cette journée « parfaite » sous le soleil pour ne rien gâcher…
Un message à méditer par tous nos dirigeants…
Et en prenant conscience de la richesse de ces forêts comme ce jour-là, le drame de la déforestation dont nous sommes témoins prend toute sa gravité.
Nous voyons beaucoup d’exemples en Malaisie, l’un des pays les plus tristement déforestés. L’urbanisation est galopante et l’exploitation pour le bois et les coupes pour planter les palmiers sont autant de menaces sans retour pour la faune des sous-bois.
Coupe de bois tropicaux
Il reste encore quelques oasis. Protégeons les à tout prix en les visitant et en refusant le bois tropical ou l’huile de palme !
Nous avons pris le bateau tôt le matin. Lorsque nous arrivons, il y a déjà beaucoup de monde. C’est un endroit très touristique.
Venez c’est par là !
Papa et maman nous ont offert des masques et tubas pour aller voir les poissons!
Il faut monter beaucoup de marches pour arriver tout en haut de l’île. La vue est extraordinaire.
Nous marchons longtemps sous le soleil, bien décidés à découvrir l’île à pied, loin de la foule. Nous nous égarons car le chemin indiqué sur la carte n’existait plus!
Une camionnette d’un hôtel restaurant nous prend en autostop au milieu de sa livraison! Thank you!
Nous rejoignons la plage de Long beach. Nous essayons nos masques et tubas ! Il y a de petits récifs avec des poissons multicolores. Plus loin près des rochers il y a beaucoup plus de poissons. C’est magnifique !
Voici ce que nous avons filmé avec la caméra Gopro qui va sous l’eau ! Bon voyage sous-marin !
Nous rentrons au port dans une barque à fond plat.
La semaine d’après, nous prenons un bateau avec nos affaires pour aller sur l’île de Ko Kradan. Il y a du vent à l’embarcadère.
Doudou Mouton n’a pas de liseuse
La bateau nous dépose sur l’île de Ko Kradan.
Bienvenue au paradis!
Nous logeons dans une cabane au milieu de l’île et de la forêt tropicale. Son nom est « Paradise Lost Resort » !
C’est un endroit pour aventuriers! Voici le varan qui nous accueille.
Il y a beaucoup de moustiques… et des petites souris la nuit!
Le soir, on a vu un magnifique coucher de Soleil sur une petit plage au nord de l’île.
Pour aller à la plage, il faut marcher dans la jungle 10 minutes. Attention aux araignées !
Sur la plage, je lis au calme…
Dur de se concentrer avec le bruit assourdissant des cigales!
…ou nous continuons d’observer les poissons. J’adore le jaune en pyjama !
Bangkok nous a séduit mais nous prenons désormais la route du sud en direction des îles de la mer d’Andaman. Objectif : repos après nos pérégrinations au Népal et une première semaine de découverte autour de la capitale thaïlandaise.
Après une nuit mouvementée dans un bus avec des sièges défoncés, un arrêt à minuit et demi pour dîner un repas trop épicé, un transfert en minibus avec passage de bac, notre équipe de choc arrive enfin motivée sur l’île de Koh Lanta !
Conseil des sages pour réfléchir à la suite du voyage.
Un grand vent de liberté souffle sur ces premiers jours de décembre.
Détente au crépuscule…
Au sud-est de l’île, nous partons explorer le vieux village de pêcheurs, Lanta Old Town.
Quelques pêcheurs au loin réparent leurs filets.
L’hôtel de ville est lui aussi tout petit…
A gauche de la photo, vous pouvez apercevoir le drapeau thaïlandais. Il y a cinq bandes et trois couleurs. Le rouge pour la nation, le blanc représente la foi et la pureté du bouddhisme, religion de plupart des habitants, et enfin le bleu est le symbole du pays et de sa monarchie. Le roi actuel se nomme Rama X. On le voit souvent en photo dans le pays.
Les jours qui suivent sont paisibles entre balades, école et repos.
Cooking with Mon
Par notre reporter Noémie.
En rentrant du village de pêcheurs, nous avions vu une affiche qui nous a donné envie de cuisiner et de partager un moment en famille !
Le lendemain, nous prenons une moto taxi pour aller cuisiner avec un Mon : un professeur de cuisine.
Quand nous arrivons, il nous accueille avec le sourire et nous donne : un tablier , un couteau de cuisine, une planche à découper ainsi que les consignes d’usage et des ingrédients .
Nous cuisinons 4 plats thaïlandais puis nous les dégustons sur une grande table au fur et à mesure.
Le premier plat était le traditionnel « Pad thaï ». C’est soit une entrée, soit un plat principal.
« Le Pad thaï »
C’est une salade de nouilles avec une sauce épicée, des arachides et des crevettes.
La sauce contient du tamarin, de la sauce de poisson et du sucre de palme.
Elles accompagnent les nouilles de riz, les crevettes, le piment et les oignons. Le tout est saupoudré de peanuts concassées. Mmmm !
Voici le résultat du premier plat!
« Le Tom Yum »
Nous poursuivons par une soupe qui peut être soit préparée avec du lait de coco ou avec du bouillon. .Mais à cause du piment rouge, le résultat est plutôt épicé !
Les ingrédients sont : la racine de Galangal, des tiges de Lemon grass, du citron vert, du piment (rouge), des crevettes, des champignon , des tomates, des oignons, de la sauce de poisson, du sel, et de la coriandre.
A la fin de chaque plat, chacun goûte le repas des autres pour voir la différence des saveurs.
« Le green curry »
Après il y a le green curry (ou red curry). C’est le plat principal, à base de légumes et de viande. Nous l’avons cuisiné avec des courgettes, des aubergines et du poulet. J’ai adoré le green curry ! Papa a fait le red curry avec du piment rouge alors que maman, Romain et moi avons fait un green curry avec le piment vert (le piment vert est moins épicé que le piment rouge). Nous avions des creusets pour écraser les épices.
Papa a été complimenté par le chef!
« Le mango sticky rice »
C’est le dessert sucré!
Il faut goûter! C’est une spécialité du pays. Ses ingrédients sont: la mangue, du riz glutineux teinté avec une fleur bleue et du lait de coco.
Papa a adoré! C’était son plat préféré.
Maman a adoré le green curry et Romain le Pad thaï.
C’était une super journée ! Merci Mon pour la bonne humeur et les bons conseils! Bien sûr, nous n’avons rien mangé le soir !
Dans le prochain article, le capitaine Romain vous emmène en voyage sur les îles pour observer les poissons.
Nous arrivons au parc national de Khao Yai. Nous partons à la recherche de calaos, de gibbons et d’éléphants. Nous enfilons des grandes chaussettes pour nous protéger des sangsues.
Avant d’entrer dans la jungle, nous admirons le paysage.
Et au détour du chemin… deux calaos bicornes !
Au parking des gardes, il y a des lézards bizarres…
Avant le déjeuner, nous entrons dans la jungle à la recherche des gibbons. Deux espèces habitent cette forêt.
Le chemin est glissant!
Notre guide Tina entend des cris !
Ca y est! Nous avons repéré une famille de Gibbons à mains blanches!
Il y avait un bébé accroché à sa maman.
On voit bien les mains blanches de la maman.A travers la lunette de la guide
Quel acrobate! On dirait un homme!
J’ai vu aussi un macaque qui est très commun.
Macaque à queue de cochon du Nord
Sur ce chemin nous rencontrons ce gros scorpion !
Nous arrivons près d’une cascade.
Dans la forêt, il y a des serpents mortels! Brrr…
Cette araignée est inoffensive. Ouf !
En fin de journée nous descendons cent marches vers une grande cascade.
Sur la route du retour je vois mon premier porc-épic en liberté!
A l’heure du dîner nous mangeons des nouilles au soja, poulet, noix de cajou et carottes.
Lorsque nous faisons école le lendemain, nous sommes dérangés…
… par un serpent qui capture un lézard dans l’arbre au dessus de nous! Finalement le lézard tombera de sa mâchoire…
Début décembre, nous étions à Bangkok, capitale de la Thaïlande, une ville de près de 20 millions d’habitants avec sa banlieue.
J’ai aimé Bangkok car c’est une ville avec beaucoup de bateaux et un fleuve. C’est une ville bouddhiste et il y a des temples partout !
On reste zen en contemplant ces magnifiques bouddhas.
Lors d’une promenade à pied, nous décidons d’aller voir le bouddha debout. Il est gigantesque ! Il mesure 32 m de haut et 10 m de large.
A ses pieds , les fidèles déposent des offrandes. Ce sont souvent des fleurs, des colliers ou de l’encens (parfois même du soda avec une paille! ).
Un autre jour, nous prenons le bateau pour aller voir le temple bouhddiste, le « Wat Arun ». Il est couvert de mosaïques. C’est un temple célèbre datant du XVIII ème siècle. Arun signifie l’aube ». C’est le nom de Surya, le dieu soleil de la mythologie indienne qui tire un char, comme Elios dans la mythologie grecque.
Finalement, nous le visiterons au crépuscule!
Le soir à 18h30, il se pare de toutes ses lumières.
De nuit, la vue du fleuve sur le Grand palais est magnifique.
Le lendemain, nous allons justement visiter le Grand Palais, le « Wat Phra Kaeo ». C’est l’ancienne résidence royale, mais le roi actuel y reçoit encore quelques invités ( tel que le pape François venu deux jours avant nous). Une chapelle accueille aussi le célèbre bouddha d’émeraude. Dans l’après midi, il y a toujours énormément de touristes ! Mais à 8h15 du matin, nous arrivons les premiers !
Voici le célèbre Bouddha d’émeraude … qui est en fait en jade! Nous nous recueillons pour contempler la beauté du lieu parmi les fidèles thaïlandais qui viennent prier tôt le matin. Il y avait des coussins réservés aux moines.
Le bouddha de jade . Il est en habit d’hiver.
J’ai aussi aimé le grand stupa doré et les peintures traditionnelles.
Les fresques relatent l’épopée de Rama, inspirée d’une légende indienne.
J’ai adoré ces peintures retraçant les légendes du pays!
Plus tard, nous sommes allés au théâtre royal voir un spectacle de danse traditionnelle: « Thai Masked Danse » qui explique cette légende !
Les taxis sont très colorés!
La » Street food » (nourriture de rue) est présente partout et on se régale !
Il y a des recettes qu’on ne connaît pas, très différentes de chez nous.Mais aussi de bons légumes comme sur nos marchés en France!
Nous avons trouvé un soir des crêpes bretonnes thaïlandaises! INCROYABLE! Miam!
Le lendemain, nous rencontrons Femke et Lieve et leurs parents qui voyagent comme nous ! Nous aimons échanger des bonnes idées et nos titres de livres préférés!
Nous allons ensemble au Wat Pho, le temple du Bouddha couché qui a été construit par le roi Rama III en 1832.
L’image du Bouddha couché représente l’entrée du Bouddha dans le Nirvana et la fin de toutes les réincarnations.
On ne pouvait pas le chatouiller aux pieds .
Quelques sapins de Noël dans les rues nous mettent dans l’ambiance en ce mois de décembre!
Voici une sélection de quelques espèces observées en novembre 2019 enThaïlande (103 au total) lors de notre voyage en famille. Peu d’ornithologie intensive, surtout des observations glanée ici et là. J’ai trouvé l’observation difficile dans les forêts. Une petite déception dans ce pays, réputé pour son avifaune très diversifiée…
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