Chutes Victoria côté Zimbabwé

Par nos reporters Romain et Noémie

Nous sommes allés aux Chutes Victoria coté Zimbabwe : on a fait une super balade et on a vu un magnifique arc-en-ciel en fin d’après-midi.

Il a fait chaud mais la vapeur d ‘eau de la chute nous a rafraichi. Nous avons fait 10 km de marche et nous sommes revenus au chalet dans le camping. On a joué au playmobil dans la piscine. Au restaurant nous avons mangé des pâtes. Miam!

Noémie

On a vu des phacochères et des babouins sur le chemin. On a eu de la chance, car on a vu aussi un biche de la savane, une BushBock. Trop mignonne. Près de la cascade, on était tout mouillés, c’était très bien.

Phacochère peu farouche comme dans le Roi Lion. Hakuna Matata!
petit BushBuck

Romain

Au loin la Zambie… Au programme du lendemain

A bientôt !

Boucler les valises…

L’ objectif n’a pas changé : faire rentrer toutes nos affaires dans deux sac de soute…

Le enfants ont fait leur choix de livres. On ne lésine pas sur la culture.


Malheureusement ça ne rentre pas ! …

Pas moyen de fermer la valise de grand maman… C’est le désespoir.

On positive !

Voici notre nouvel allié pour les longs trajets en bus et les soirées sous la tente : une liseuse qui permet de stocker des milliers de livres! Et de gagner plus de 200kg de bagages 😉

Indispensable pour notre grande lectrice … et pour son petit frère qui démarre vraiment la lecture plaisir en CE1.

La mission serait-elle plus compliquée pour les cartes, les guides de voyages et les guides ornithologiques, sans lesquels le grand organisateur serait perdu à coup sûr?

Là encore, la technologie sera très utile : un long travail de scannage des guides ornithologiques a commencé…

Moins pratique qu’un guide papier mais hélas indispensable !

Je n’emporterai que l’excellent guide des oiseaux d’Afrique australe, qui fera ensuite un heureux à notre départ de Johannesburg puisque je devrai m’en débarrasser.

Pour les cartes, il est toujours plus intéressant d’investir sur place, les cartes sont toujours plus à jour et plus complètes dans les stations services locales que dans nos librairies universitaires !


Atlas Farnèse, copie en marbre de l’Empire romain du iie siècle, d’une sculpture hellénistique d’Atlas, Musée archéologique national de Naples BNF

Le choix des produits de beauté est important. Une petite trousse suffira !

Vous l’aurez compris, impossible de tout prendre! Les choix sont drastiques…

Adieu sèche cheveux, lisseur, produits en tout genre! …

Même cas de conscience pour les jouets et les doudous : Il a fallu les retenir !

Dès qu’on a le dos tourné…

Idem chez les doudous :

Résultat de la sélection : Ne garder que l’essentiel

Les affaires des enfants…
Celles des parents…

Et grâce à la magie des sacs de rangement…

Jour J… Le voyage n’attend plus que nous !

Mission « vaccins » : terminée !

Depuis quelques années, nous avons anticipé certains vaccins comme celui de l’hépatite A ou de la rage. La prévention est une étape indispensable. Il est nécessaire de bien s’informer des risques selon les pays que nous traverserons. C’est aussi une épreuve psychologique. Ainsi, après une heure de rendez-vous au centre de vaccination internationale d’Air France à Paris en décembre dernier, c’est là que j’ai compris notre réelle détermination.
Salle d’attente originale du centre de vaccination d’Air France
Fin juin, les enfants et moi terminons par le vaccin de la fièvre jaune à l’hôpital Jean Verdier de Bondy. Eh oui, il faut encore se faire piquer!
Romain toujours stoïque face à l’aiguille.

Dans la vie, tout dépend de la manière dont on aborde les choses. Si on se dit que ça va faire mal, ça fait mal! … Sinon, on prend les choses positivement, on se gonfle de courage, on respire et malgré le sérieux de la chose, tout devient plus facile! ; )

Objectif atteint!

Voici les précieux sésames qui nous permettront de rentrer sur les territoires amazoniens en Amérique du Sud. Il peut également être demandé à d’autres frontières au vu de notre visa qui montrera notre passage en Zambie.

Juillet 2019 : 4 dernières semaines

A J-30, enfin un peu de sérénité, mais les derniers jours ont été chargés d’émotions… et de quelques petits imprévus…

Emotion d’abord de recevoir enfin le sésame pour une année complète de la part de l’éducation nationale avec les arrêtés de disponibilité officiels… Un tel parcours du combattant qu’on en ferait un livre à part entière si on avait le temps !

Ensuite émotion de rassembler ce WE nos amis franciliens pour quelques instants chaleureux… Émouvant au point qu’on n’a pris aucune photo ! Comme me soufflait un collègue, mieux vaut que ça arrive maintenant que dans 1 mois !

Quelques imprévus à résoudre aussi avant le voyage, autant de petites piqûres de stress, certes mineurs au vu de tant de préparatifs. Comme …

  • de devoir changer de carte bancaire pour réserver des véhicules en Afrique australe,
  • de se rendre compte qu’on a réservé un camping pour le mois de juin au lieu du mois d’août,
  • de constater que notre blog ne diffusait plus d’e-mail à nos abonnés,
  • de s’apercevoir que le contrat de location de notre véhicule en Afrique est trop long pour permettre une assurance avec la carte Visa…,
  • d’acheter une batterie de type power bank et de s’apercevoir qu’elle ne pourra pas recharger notre MacBook,
  • de perdre le code du cadenas avant même sa première utilisation… 😉
Le code sera vite retrouvé!

Derniers jours d’école, les enfants profitent de leurs camarades, du coup les invitations se succèdent… Et on court, court…

Les cartons commencent à rendre difficile l’accès à certaines pièces… Quel bonheur de faire le vide chez soi ! Et bon finalement on s’aperçoit qu’on n’a pas amassé tant de choses que cela. Les enfants ont enfin participé à un premier tri de leurs livres et jouets. Etape délicate… Mais faite de manière ludique…

Le bilan Santé est terminé et les vaccins aussi : nous voilà en possession du sésame pour l’Amazonie : le carnet de vaccination de l’OMS pour la fièvre jaune :

La paperasse, c’est pour moi… Contrats résiliés ou planifiés (Navigo, Vélib, Mutuelles, revues, …), planification du renvoi du courrier… et bientôt les contrat d’énergies et de télecom. Reste à souscrire un contrat d’assurance global pour les petits ou gros soucis… A priori chez Chapka Assurances – Cap Aventures.

Le Voyage

Egalement des avancées dans l’organisation pour… 2020, avec la réservation d’un petit camping car en Australie, et d’un Camper Van en Nouvelle-Zélande. Grosse étape. Dur de faire des choix, mais il faut avancer. Réserver à l’avance permet de bénéficier de tarifs avantageux, mais par contre cela « bloque » les dates et laisse moins de liberté.

En Australie, nous avons réservé notre « nouvel » an via le site Homexchange (issu des sites trocmaison et guest2guest) en bénéficiant de l’offre « nouveaux inscrits »… Résultat : 7 jours dans une maison rien que pour nous à Adelaïde, voiture comprise, pour quasi zéro euro ! Un bon plan qui nous incitera surement à utiliser le système d’échange de maison plus tard après notre périple.

Notre maison au pays de Tolkien !

Dernière ligne droite, ou plutôt sinueuse tant il reste de choses à faire ! Mais l’excitation arrive désormais, les enfants se rendant vraiment compte de l’aventure qui les attend!

Le point sur les préparatifs !

Petit point d’avancée sur les préparatifs d’un si grand voyage!

L’objectif – plutôt : le défi : Faire rentrer dans deux sac de voyage les habits, matériel pour 4 et pour toutes les saisons, de 0 à 5000m, de -15 à 40 degrés, pendant plusieurs mois…

  • Matériel : 80%. Reste quelques habits à la taille des enfants à acquérir… sans trop anticiper, l’ainée ayant pris deux pointures ces derniers mois. La Vieux Campeur et Décathlon ont été écumé pour trouver des sous-vêtements en mérinos, des bagages pratiques… Voici une de nos « maisons » : Sac à dos Valise Osprey Sojourn 80L. Qu’on espère porter le moins possible…
la référence des tourdumondistes 😉

Pour second bagage, surement notre bon vieux sac EastPack 67cm – 78L, puisqu’à dos fragile, pas de portage. Nous serons des « demi backpackers »…

Le défi sera de tout faire rentrer dedans. En effet, pour le moment, les enfants n’auront qu’un très petit sac (Deuter 12L et Osprey 18 L), car ce ne sont pas des morphologies à faire les « mules »…. Et on avait déjà investi. Mais il faudra peut-être revoir un peu le volume car je suis déjà inquiet !

Continuer la lecture de « Le point sur les préparatifs ! »

Parcours prévisionnel

 Après plusieurs années de maturation, voici le parcours prévisionnel de notre voyage au long cours… Débriefing avec un puzzle…

Finalement il restera encore beaucoup de destinations pour rêver!

Certains globe-trotters choisissent pour les voyages au long cours la totale liberté sur les dates. Je comprend cette ivresse de l’inconnu, mais en pratique, avec des enfants, un budget serré,  les considérations climatiques, les périodes optimales pour observer certaines espèces animales… Ce n’est pas forcément idéal. Par ailleurs, certaines destinations étant prévues en haute saison (Océanie…), il peut s’avérer économique et confortable de réserver à l’avance.

Nous parcourrons 6 zones géographiques principales, pour 4 continents en dehors de l’Europe.

Les dates ne sont pas fixes et demeurent modifiables quelques jours avant, mais ça devrait ressembler à :

Afrique australe : 11 semaines (août – octobre);
Inde – Népal : 7 semaines (octobre – novembre);
Asie du Sud-est :  6 semaines (novembre – décembre);
Australie : 6 semaines (janvier – février);
Nouvelle Zélande : 5 semaines (février – mars);
Patagonie, Chili/Argentine : env. 2 mois (mars – mai);
Equateur : env. 2 mois (juin – juillet).

L’Islande en famille : Elfes et Baleines dans les fjords du Nord…

25 Juillet 2018 — dernier épisode.
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Nous quittons le lac Mývatn pour rejoindre, encore plus au Nord, le fjord d’ Hauganes. La route traverse des paysage plus verdoyants désormais et aussi plus urbanisés : nous passons par les faubourgs d’Akuyeri, 2ème plus grande agglomération d’Islande avec près de… 19 000 habitants ! Vertigineux;-)

La géographie vue du ciel invite à imaginer les paysages somptueux où nous arrivons en rejoignant le village d’Hauganes.

Nous prévoyons une sortie en petit comité pour observer les Baleines le lendemain.

Mais d’abord, c’est un tout autre voyage qui nous attend, à notre grande surprise!

L’endroit où nous arrivons pour la nuit est emplit d’une grande sérenité.

Bienvenue à Arnarnes Paradise!

Au premier abord une Guesthouse comme n’importe quelle autre …

Avec un petit rappel : nous sommes à la ferme!

Une belle et vaste salle commune, une grand salle de bains commune mais nous sommes presque seuls.

Mais le lieu est habité… par les Elfes !

Quelques elfes des environs…

La propriétaire Eyri est un sacré personnage, à la fois prof de yoga, de méditation, peintre, guérisseuse et messager des elfes. Son diplôme officiel de théologie elfique à Reykjavik est affiché au mur… Ca ne rigole pas.

Un petit message nous attend aussi :

« Bienvenue à Arnarnes ». Ici vous pouvez voir des elfes, des fées et autres créatures de la nature qui, je suis convaincue, habitent tout autour de cette maison.

Les Islandais sont ouverts à l’existence d’une monde parallèle où vivent ces créatures…je suis persuadé que nous ne sommes pas seuls sur Terre… Voici la carte du monde des Elfes…

Notre soirée sera plus terre à terre puisque nous sommes invités à prendre un bain dans un jacuzzi extérieur… Pas de photo désolé !

Une adresse à recommander, vous l’aurez compris!

A la rencontre des Baleines

Le lendemain matin nous avons rendez-vous avec un rêve.

Le petit port d’Hauganes nous accueille et semble encore endormi. Les montagnes ont toujours leurs écharpes.

Nous avons réservé une excursion auprès d’une agence familiale qui affrète un petit bateau pour aller à la encontre des Baleines à bosse qui viennent passer l’été dans les fjords d’Islande.

Nous nous équipons…

Un peu large !

Le premier animal observé n’est pas celui attendu… Un Macareux moine pêche au pied du bateau.

Soudain la promesse de voir nos premières baleines se réalise!

Ce sont des Baleines à bosse. Elles aiment se nourrir dans les eaux polaires après s’être reproduites dans les eaux tropicales ou subtropicales. Elles sont communes durant la période estivale au large de l’Islande. Près de vingt espèces de Baleines ont été observées par les scientifiques autour du pays.

Voici les meilleurs souvenirs captés par notre téléobjectif… Bonne plongée!

Sans vouloir refroidir l’ambiance savez-vous que la chasse à la baleine a encore cours en Islande – mais aussi en Norvège et au Japon? Une tradition d’une autre époque quand on sait les menaces qui pèsent sur les cétacées (réchauffement des eaux, contient de plastique..). Une lueur d’espoir, celle-ci devrait s’arrêter à partir de 2024 en Europe selon une décision récente.

Le trajet retour donne lieu à une halte pour essayer la pêche à la Morue… Ames sensibles s’abstenir. La pêche à la Morue (Cabillaud) reste la première exportation agro alimentaire d’Islande.

Retour sur la terre ferme, le port d’hauganes est accueillant : voici notre table pique-nique trois étoiles!

Une photo souvenir permet de se rendre compte de l’immensité de notre amie du jour…

Puis nous reprenons la route pour une longue journée de road trip qui nous mènera un peu au nord de Reykjavik.

Nous retiendrons les prairies saturées, les successions de fjords et de tunnels… dont celui à sens unique où nous nous sommes retrouvés face à un camion et avons du faire marche arrière dans le noir et le stress. Panique et cauchemar !

Pour se détendre, pause sur la route, les enfants sont rois ici…

Même à l’hôtel, idéal pour se détendre.

Il y en a même pour les ornithologues avec cette famille de Sterne arctique juste derrière la jardin!

Reykjavik Express

Pas de doute que la petite capitale islandaise regorge de centres d’intérêts… Mais notre périple n’avait pas de vocation urbaine… Nous nous quitterons donc sur quelques ambiances « touristiques » montrant les principales attractions touristiques!

Merci d’avoir suivi les 5 épisodes de ce road-trip de 2018 !

Eglise luthérienne d’Hallgrimur
Cathédrale-basilique du Christ-Roi

Prochaine escale moins rafraichissante: Lanzarote au large du Maroc!

L’Islande en famille : Lac Mývatn. Terre de plumes et de feu.

Juillet 2018 — avant dernier épisode–

Nous arrivons des hauts plateaux et une faille immense balafre le paysage. Nous sommes ici sur la faille médio-atlantique qui traverse l’Islande.

A cet endroit les eaux qui descendent du plateau glaciaire arrivent sur des ruptures de pentes monumentales, créant ici les chutes d’eau les plus puissantes du pays. L’eau de la rivière Jökulsá á Fjöllum tombe sur plus de 44 mètres, et selon un débit moyen de 193 m³/s.

Deux autres chutes sont visibles en amont dans un paysage sauvage et volcanique, comme en témoigne la couleur rouille des roches basaltiques.

En rejoignant les abords du lac Mývatn, nous croisons quelques rennes sauvages Jadis importés de Norvège, ils ne sont pas autochtones.

Voici le lac Mývatn, « lac des mouches » en islandais. En effet, à la belle saison, des millions de moucherons (simulies) peuvent localement gâcher les balades…

Nous nous installons à Reykjahlíð dans un petit bungalow à proximité immédiate d’anciennes croûtes de lave. Impressionnant décor!

Au pied du cabanon, une Bécassine cherche à nous éloigner de son poussin !

Rare observation qui nous rappelle que les terres arctiques sont le paradis estival de nombreux oiseaux migrateurs.

Pluviers, Barges, Bécassines, Bécasseaux et autre Chevaliers traversent la France pour aller se reproduire autour du Cercle polaire où la nourriture abonde durant le court été arctique.

Pluvier doré

Le lac Myvatn est connu pour abriter de nombreuses espèces de canards. Parmi celles-ci, le plus emblématique est le Garrot d’Islande. En Europe, on ne le trouve qu’en Islande où il est sédentaite, mais il est bien présent au Canada aussi.

Son nid, habituellement placé dans un trou d’arbre, est remplacé en Islande par des cavités minérales (crevasse de falaise ou de champ de lave).

Voici une autre espèce emblématique d’Islande, rarement observé en plumage estival en France : Le Grèbe esclavon.

Hverir et Namafjall

Nous quittons pour quelques heures les rives du lac pour explorer les sites géothermiques à proximité. L’un des plus surprenant est celui de Hverir que visu visitons tôt le matin pour éviter les foules.

Le décor est somptueux. Une balade sur la planète mars ne dot pas être beaucoup plus dépaysant ! Des solfatares (émanations de gaz sulfureux) et des mares de boues se succèdent et émettent des fumerolles qui confèrent une ambiance mystérieuse au site.

Les futurs obsreveurs rêvent d’un bain chaud mais il faudra changer d’endroit, car la température est un peu élevée et le bain de boue pas si engageant…

En prenant un peu de hauteur jusqu’au sommet du Namafjall, nous prenons la mesure de l’environnement volcanique hostile aux alentours. Nous sommes dans l’ensemble volcanique du Krafla.

Namafjall

Krafla et Leirhnjukur

Nous nous rendons justement après aux abords du volcan Krafla. Il a récemment été en éruption et une très longue coulée de lave encore noir ébène s’écoule du flanc nord. Voici le site majestueux du Leirhnjukur.

Coulée de lave du Krafla

Le souffle du magma encore présent sous la croûte de lave est encore chaud.

La caldeira voisine est remplie par un vaste lac.

Mais pour la toilette, mieux vaux préférer un douche d’eau chaude naturelle géothermique 😉

Dimmuborgir et Hverfall

Déformation de cartographe, impossible de passer à coté d’un volcan si parfait à la photo aérienne… On imagine la puissance de l’éruption aux dimensions du cratère…

Pour accéder à Hverfjall, le plus simple est de partir du site touristique de Dimmuborgir. De curieuses arches sont visibles au milieu des fourrés de bouleaux nains. Cet étrange labyrinthe d’amoncellements ruiniformes d’il y a deux mille ans sont les restes d’un lac… de lave!

Trois kilomètres plus loin, la base du volcan Hverfjall nous attend.

Renseignement pris, cet énorme volcan explosif s’est formé il y a deux mille cinq cents ans. On a pourtant l’impression de marcher dans des cendres fraiches sur ses pentes.

Le tour du cratère fait presque 2 km ! Calculez son rayon 😉

Démotivés pour faire demi-tour, nous rejoindrons directement à pied le camping après 4km à travers les buissons de jeunes saules. Je récupèrerai la voiture au parking de Dimmuborgir en faisant du « stop »… Option gagnante, un rare Faucon gerfaut est posé en bord de route juste avant le parking!

Le secteur du lac Myvatn est une alternative de choix au traditionnel « triangle d’or » touristique proche de Reykjavik. A ne pas louper pour les naturalistes tout autant que les volcanologues en herbe !

Dernière tranche de voyage… Le Nord, ses elfes et ses baleines…